11/08/2010

2. L'enfer est entré dans ma vie

J'ai cédé....

Comment ai-je pu céder?

J'ai quand même réussi à obtenir quelques maigres compromis. Mais, ce ne sont pas ceux-ci qui m'ont épargné la souffrance de la psychiatrie moderne.

J'ai donc réussi à ne pas être internée en hôpital psychiatrique sur le champ, ils m'ont laissée rentrer chez moi ce soir-là. J'ai aussi réussi à obtenir une hospitalisation ambulatoire qui devait prendre effet dès le lendemain 15h00.

En rentrant chez moi, j'ai pleuré toute la nuit en me maudissant d'avoir cédé à un tel chantage. J'ai réussi à dormir un peu en me disant que rien n'était perdu et que j'allais pouvoir revenir sur cette décision.

Ce matin-là, c'est sous le choc de l'entretien du jour précédent que je me rendis au gymnase. Toute la journée, je me mis à chercher un moyen de me sauver de cette hospitalisation ambulatoire qui devait débuter à 15h00.

15h00, je me rends à Clarens où se trouve l'hôpital de jour de la fondation de Nant. Je rassemble mes forces pour me lancer dans ce que je crois être le deuxième round de l'entretien du jour précédent. Je m'attends à devoir à nouveau me battre pour défendre mes intérêts. Cette fois je sais à quoi m'attendre, ils ne me prendront pas par surprise comme ils l'ont fait le jour d'avant. Je suis prête à me battre et à ne pas les laisser décider pour moi.

Je franchis la porte de l'établissement. On m'emmène dans une chambre où j'attends le médecin psychiatre en chef pour lui dire ce que je pense de cette hospitalisation.

A ma grande surprise, c'est l'infirmier qui arrive et qui me dit qu'on va commencer par me donner des calmants. Je refuse, il n'est pas question que je prenne quoi que ce soit. Moi qui ne fume pas, qui ne bois pas et que ne me drogue pas, il n'est pas question que j'avale un psychotrope.

L'infirmier commence à s'énerver et me dit que j'avais accepté cet arrangement et que j'avais choisi de me faire hospitaliser. Je dis que non, absolument pas. Je ne veux pas être internée, même si j'ai cédé le jour précédent parce que je n'en pouvais plus de leur chantage et que je voulais que ça s'arrête.

Il me dit: "vous avez accepté, on ne va pas revenir là-dessus, avalez ça". Il me tend des cachets que je refuse d'avaler. Je lui dis d'aller chercher le psychiatre. Il n'est pas content, mais part le chercher.

C'est à ce moment-là que j'aurais mieux fait de fuir plutôt que de tenter de leur faire changer d'avis.

Les deux hommes reviennent. Le psychiatre est remonté à bloc. Ce n'est pas la même personne, il a changé de comportement, de négociateur, il est passé à autoritaire et dictateur.

Il ne prend même pas la peine d'écouter mes propos, il me bascule sur le lit qui se trouve dans la pièce et l'infirmier m'enfile une aiguille dans le bras. Il la relie à un goutte-à-goutte rempli de tranquillisant.

Je suis tellement sous le choc que je ne résiste pas. Je me mets à pleurer et je ne bouge plus. Je suis terrorisée par leurs comportements et je me dis qu'il vaut mieux attendre sans bouger qu'ils me laissent repartir. Au bout de 45 minutes, je suis dans les vapes. Ils m'enlèvent la perfusion et me disent que je peux y aller et qu'ils m'attendent le lendemain à la même heure.

Je rentre chez moi complètement défaite et choquée. Je dis à ma mère qu'il n'est pas question que j'y retourne.

A ma grande surprise, elle me répond que les médecins l'avaient prévenue que je serais "réfractaire au traitement", mais que c'était tout à fait normal et qu'elle devait se montrer forte et ne pas céder. Ils lui ont dit que toutes les personnes comme moi rejetaient l'aide qu'on leur fournissait, mais qu'il fallait être ferme pour mon bien et ne surtout pas croire ce que je disais.

Deuxième choc de la journée, ils avaient retourné ma mère contre moi.

Là, j'étais perdue. Que devais-je faire pour me sortir de ce guet-apens? Je me retrouvais dans une situation horrible.

Je tentais de reprendre mes esprits; chose pas facile après la dose de calmants qu'ils m'avaient envoyée. Je pris donc cinq cafés pour me réveiller. Au bout de quelques heures, j'essayais de faire mes devoirs. Il fallait que je m'accroche à quelque chose de bien réel et de concret. Mes cours devenaient plus que jamais ma bouée de sauvetage dans cette tempête irréelle.

Malheureusement, je n'arrivais pas à comprendre grand chose de ce que je lisais dans l'état où je me trouvais et je finis par m'endormir.

Je me réveillais le lendemain toujours un peu dans le coltard. J'allais aux cours, mais je ne réussis pas à suivre, j'avais trop peur de ce qui m'attendait à 15h00. Sur le chemin qui me menait jusqu'à mes tortionnaires, je me mis à pleurer tellement je me sentais impuissante à leur faire face. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas trouvé la force de rentrer directement chez moi. Je crois que j'avais trop peur de faire souffrir ma mère et surtout, j'avais trop peur de l'entendre prendre le parti des psychiatres contre moi. J'avais tellement besoin de son soutien, que je ne me sentais pas la force de la décevoir.

Je me mis alors en tête l'idée suivante:

Si je fais tout ce que veulent ces psychiatres, ils me laisseront rapidement tranquille. Je vais accepter sans rechigner ce qu'ils m'imposent et je vais tenter tant bien que mal de poursuivre mes cours. Je prendrais beaucoup de café pour me réveiller et je vais aller marcher juste après leur perfusion pour faire partir le plus rapidement possible les effets sédatifs de leurs tranquilisants.

C'est avec cette stratégie en tête que je retournais tous les jours à 15h00 dans cette chambre des tortures.

Pendant un mois, chaque jour, ils m'ont laissée seule dans cette chambre avec une perfusion de tranquilisants dans le bras. J'étais contente qu'ils ne me parlent pas, ça rendait ces 45 minutes moins pénibles.

Pendant un mois, chaque jour, j'ai marché pendant 1h30 en sortant de chez eux pour essayer de dissiper cet engourdissement qui me rendait amorphe.

Pendant un mois, chaque jour, j'ai bu des litres de café en rentrant à la maison.

Pendant un mois, chaque jour, je n'ai pas réussi à suivre les cours tant ces calmants me rendaient amorphe.

Tout ce mois de novembre 1994, je l'ai passé dans le coltard. J'attendais qu'ils me laissent reprendre possession de ma vie. Je comptais les jours avant la délivrance.

Mais non, ils ont bien arrêté de me faire des perfusions à la fin du mois de novembre, mais j'étais devenue dépendante aux médicaments qu'ils m'avaient injectés tous les jours pendant un mois. Je n'avais pas pensé qu'il existait une dépendance à ces substances et je croyais que je pourrais m'en débarrasser rapidement tout comme des psychiatres.

Non, ça continuait. Comme je me sentais mal à cause de ces produits, ils ont dit à ma mère que c'était normal, que c'était la maladie qui gagnait du terrain et que c'était ma faute, car j'avais voulu continuer d'aller aux cours malgré leurs recommandations de cesser toutes mes activités. Ils ont expliqué mes symptômes dus aux effets secondaires des médicaments psychiatriques, comme étant les manifestations d'une maladie mentale.

Ma mère horrifiée de me voir dans un tel état d'angoisse et de mal-être physique m'a de plus en plus poussée à suivre les recommandations de ces personnes. Elle m'obligeait à prendre les comprimés qu'ils lui avaient donnés.

J'ai donc pris ces comprimés.

A ce moment-là, je dormais 23 heures par jour. C'était terrible, je n'arrivais plus à me maintenir réveillée. Je n'arrivais plus à manger, je me forçais à avaler un petit pain chaque jour. J'ai perdu 10 kilos en quelques semaines. Je passais mes journées allongée dans mon lit.

J'étais devenue un légume...

 

à suivre

 

10/08/2010

1. primum non nuocere

On m'a souvent conseillé d'écrire un livre sur ce qui m'était arrivé pour que d'autres sachent ce qui peut se passer lorsqu'on est trop crédule.

J'avais 18 ans lorsque mon calvaire a commencé, j'en ai maintenant 34 et je relève à peine la tête.

A 18 ans, on est encore très confiant en l'avenir et en l'humanité. Et donc, à aucun moment je n'ai pensé que je devais me méfier des personnes qui prenaient soin de moi: A aucun moment, je n'ai pensé que la médecine pouvait nuire à la santé d'une personne.

Quand on sait que le médecin doit toujours oeuvrer pour le bien de son patient en gardant en tête la célèbre formule latine: "primum non nuocere" qui veut dire: "en premier lieu ne pas nuire", on se demande comment ils peuvent agir comme ils le font.

Un médecin doit toujours respecter la personnalité, la volonté et les droits de ses patients. Il doit également veiller à ne jamais abuser de sa position et à ne jamais exploiter la dépendance de son patient.

Eh bien tout cela n'a été que de la théorie pour les médecins qui se sont occupés de moi, car dans la pratique, leur devise pourrait être: pognon, pognon, surtout du pognon.

C'est un peu cru ce que je dis pensez-vous. Effectivement, ils ne sont pas tous comme cela. Pour exemple, je pourrais déjà vous parler de ma doctoresse généraliste qui a toujours été là pour moi et qui m'a toujours traitée en Etre humain.

Les médecins dont je parle font partie d'une catégorie à part, ils appartiennent à la psychiatrie. La psychiatrie est vraiment une branche très spéciale, je ne considérerais jamais les personnes qui la pratiquent comme des médecins, ce sont des businessmen! Ils font de la détresse des autres leur gagne-pain et ne se privent pas pour abuser de leur position d'hommes de science et de la dépendance de leurs patients fragilisés par la vie.

Ils vont donc à l'encontre de l'éthique et du code de déontologie qu'est sensé respecter tout bon médecin.

J'avais 18 ans, j'étais en troisième et dernière année de gymnase. J'avais mis tellement d'énergie pour réussir mes deux premières années que je commençais à fatiguer nerveusement. Le sommeil me faisait sérieusement défaut et la fatigue me gagnait de jour en jour. J'avais tellement peur de ne pas être à la hauteur en commençant le gymnase, que depuis le début j'avais mis ma vie d'adolescente entre parenthèses. J'avais arrêté de sortir, de faire du sport, de voir des amis, de faire la fête; j'avais vraiment arrêté de vivre pour pouvoir me consacrer entièrement à mes études.

Je passais tout mon temps à étudier, c'était devenu ma raison de vivre, je m'y accrochais comme à une bouée en pleine mer un jour de tempête. J'avais investi tout mon Etre dans cette activité.

Evidemment, la pression qui en découlait était énorme. Je m'étouffais dans cette quête de réussite. Et ce qui devait arriver, arriva: La pression étant devenue trop forte, la digue a cédé et je me suis mise à pleurer tous les soirs en rentrant des cours.

Je n'arrivais plus à dormir et par conséquent plus à me reposer. La fatigue m'ayant ainsi envahie, mes nerfs lâchaient tous les soirs et les larmes se mettaient à couler sans que je puisse les arrêter.

Je ne trouvais aucun réconfort auprès de ma mère qui était elle débordée par ses propres inquiétudes. Je ne devenais pour elle qu'un souci supplémentaire venant se greffer sur ses angoisses.

Je comprends d'ailleurs très bien qu'étant incapable de me venir en aide, elle ait décidé d'accepter l'aide qu'on lui proposait.

Ainsi, je me retrouvais assise juste à coté de ma mère, dans une toute petite pièce, en face de quatre professionnels de la santé. Il y avait la psychologue qui me suivait depuis quelques temps à la demande de ma mère et trois personnes venant de Nant.

Je me suis retrouvée dans cette situation, car la psychologue qui me suivait ne s'occupait que des enfants et ayant eu 18 ans cette année-là, elle ne pouvait ou ne voulait plus assurer mon suivi. Elle a donc dit à ma mère qu'il valait mieux me confier à des spécialistes pour adultes.

Donc, dans cette pièce, se trouvaient en face de moi: un infirmier psychiatrique, un psychiatre de Nant. Je ne les avais jamais vus avant, mais il était apparemment clair pour eux qu'il fallait m'interner en hôpital psychiatrique sur le champ. Ils étaient venus là pour ça et ils ne repartiraient pas sans avoir atteint leur but.

Je ne sais pas ce que la psychologue leur a dit, mais je pense qu'elle a été dépassée par les événements pour qu'on en arrive à un tel résultat.

Ils ont tenté pendant plus de trois heures de me faire céder. Mais rien de ce qu'ils pouvaient me dire ne me donnait la moindre envie de les suivre. Quelle personne sensée aurait envie qu'on l'enferme dans un hôpital psychiatrique alors qu'elle est en train de suivre de études qui la passionnent et qui lui promettent un avenir professionnel de toute beauté?

Certes, j'avais besoin de revoir mes priorités. Mes notes pendant ces deux premières années de gymnase avaient toujours été très bonnes. Je figurais parmi les trois premiers de la classe. J'aurais simplement dû lever le pied et reprendre quelques activités d'adolescente. Ma moyenne aurait peut-être un peu chuté, mais pas au point de me faire échouer. Finalement, j'avais juste besoin qu'on me dise que le vie ne se résumait pas à réussir son baccalauréat et que j'avais le droit de vivre mon adolescence en même temps que mes études.

Mais alors comment me suis-je retrouvée, un soir après une journée de cours, à devoir me battre pour ne pas être internée? Comment en sont-ils venus à cette idée?

Et j'ai bien lutté, j'ai tenu plus de trois heures assaillie par leurs arguments en faveur d'un internement. Je me suis battue, j'ai résisté, je ne voulais pas qu'on m'enferme. Je n'avais rien à faire là-bas. J'y étais presque quand ils ont prononcé la phrase qui m'a fait céder:

"Tu vois ce que tu fais subir à ta mère !"

Là, j'ai craqué....

 

à suivre...

05/08/2010

Attaques de panique

Bonjour,

Depuis 10 semaines, je suis un programme qui permet d'en finir avec les attaques de panique.

Je l'ai trouvé sur Internet.

C'est un gars qui a souffert d'attaques de panique depuis son adolescence et qui a essayé de trouver de l'aide dans son pays (Belgique) et en Europe sans y parvenir. Il est alors parti pour les Etats Unis où il a enfin trouvé cette aide qui n'existe pas sur le vieux continent.

Geert, c'est son prénom, a décidé ensuite de créer un programme audio pour aider toutes les personnes qui souhaitent vaincre leurs attaques de panique et leur agoraphobie.

Mais qu'est-ce qu'une attaque de panique?

C'est la peur d'avoir peur. C'est un mécanisme qui se déclenche dans le corps lorsqu'on a peur de quelque chose. Peur de prendre l'avion, peur de conduire, peur dans un supermarché... Une personne qui souffre d'une attaque de panique va avoir des symptômes très désagréables comme:

  • le coeur qui s'accélère
  • des nausées
  • des vertiges
  • des fourmillements dans les membres
  • des problèmes digestifs
  • souffle court
  • sensation d'étouffement
  • sueurs
  • bouffées de chaleur ou de froid
  • sentiment d'irréalité
  • crainte de perdre la maîtrise de soi

 

La liste n'est pas exhaustive et il n'est pas nécessaire d'avoir tous les symptômes pour avoir une attaque de panique. Le point commun à toutes les personnes est généralement le sentiment qu'elles vont mourir ou devenir folles.

Ce qu'il faut savoir, c'est que vous n'allez pas mourir et que lorsque l'attaque de panique survient, elle ne peut durer que 20 minutes, car le corps n'est pas capable de maintenir cet état d'alerte plus de 20 minutes.

En fait, ce qui se passe lorsque vous avez une attaque de panique: c'est un mécanisme de défense archaïque qui se met en marche.

Vous avez peur et le corps sait que lorsque vous avez peur il doit déclencher ce mécanisme de défense pour se protéger d'un élément extérieur hostile.

Que fait le corps pour enclencher ce mécanisme? Il produit de l'adrénaline, car l'adrénaline lui permet de se mettre dans les meilleures dispositions pour faire face à une attaque ou pour préparer la fuite. Et c'est cette montée d'adrénaline dans le corps qui produit tous les symptômes désagréables cités plus haut.

Attaquer quoi et fuir quoi me direz-vous? Eh bien c'est un mécanisme qui remonte au temps où les Etres humains devaient faire face à divers dangers réels, comme les mammouths et autres bêtes dangereuses. Ces mécanismes sont toujours là, mais l'homme doit fuir ou attaquer des peurs qui sont beaucoup moins concrètes de nos jours. Donc ces peurs lui paraissent déplacées et il ne comprend plus très bien l'utilité des attaques de panique et encore moins la présence de ces symptômes désagréables.

Mais il est possible de reprendre le contrôle de ses peurs et de son corps (décharge d'adrénaline) afin que l'attaque de panique ne se déclenche pas quand il n'y a pas lieu de fuir ou d'attaquer; c'est à dire presque jamais, sauf si vous devez réellement sauver votre vie.

Et ne vous inquiétez pas, c'est assez simple. En gros, il faut faire trois choses:

  • arrêter de consommer de la caféine, de l'aspartame et du mono sodium glutamate (E621)
  • pratiquer assez d'activité physique (évacuer le stress physique et les substances (cortisol, adrénaline,...) qui sont dans le corps)
  • faire attention à ses pensées pour ne pas lancer le processus d'attaque de panique (c'est facile une fois que l'on ne consomme plus du tout de caféine, d'aspartame et de E621, car ces derniers produisent des symptômes identiques à ceux ressentis lors d'une attaque de panique et ce sont ces symptômes qui nous font peur et génèrent des pensées angoissantes du type: est-ce que j'ai un cancer, une crise cardiaque, ...)

 

Je donne ici les grandes lignes qui permettent de ne plus souffrir d'attaque de panique. Mais revenons au programme qui permet d'arriver à cela:

Ce programme s'étend sur 15 semaines, à chaque semaine correspond une session. Une session contient une partie audio (un CD audio d'environ une heure) à écouter plusieurs fois et des devoirs à faire.

Dans son programme, Geert explique le fonctionnement des attaques de panique, ce qui les déclenche et le moyen pour les stopper. Il donne une marche à suivre très efficace pour arrêter une attaque de panique qui commence. Les 6 étapes de cette marche à suivre sont assez facile à mettre en pratique.

Il parle également des substances qui donnent les mêmes symptômes que les attaques de panique. Il propose d'arrêter de consommer ces produits (caféine, aspartame et mono sodium glutamate (E621)) et c'est vrai qu'au bout de 4 semaines sans consommer ces trois substances, le changement est flagrant, c'est comme si les attaques de panique disparaissaient toutes seules.

Ce programme fonctionne vraiment lorsqu'on s'applique à suivre les règles.

J'en suis maintenant à la session 10 (=semaine 10) et je n'ai plus eu d'attaque de panique depuis 5 semaines. Je suis toujours un peu angoissée, mais cela devient tout à fait gérable.

En plus, on peut compter sur le soutien de Geert qui répond aux questions qu'on lui pose par e-mail dans les 24 heures. Il se propose d'être notre coach pendant ces 15 semaines et c'est ce qu'il fait avec beaucoup de sérieux.

Si vous souffrez d'attaques de panique, d'agoraphobie, d'angoisse généralisée, je vous conseille vivement de commander ce programme. Il est très efficace et pas cher: 159 euros. C'est le prix de deux à trois consultations chez un psy.

Sachant que j'ai payé pendant 15 ans des psychothérapeutes qui n'ont jamais été capable de m'aider à vaincre mes attaques de panique, acheter ce programme pour le prix de deux de leurs consultations, c'est donner. :)

Je sais, il y a de quoi être sceptique, surtout si vous êtes comme moi et que vous avez tout, mais alors tout essayé pendant des années pour vous débarrasser de ce problème. Vous pensez que c'est un truc de plus qui ne va pas fonctionner et que vous aurez dépensé de l'argent pour rien. Eh bien, attendez-vous à être surpris en bien pour une fois, ça marche!

Voici le lien vers le site contenant ce programme: www.sansangoisse.com